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L'appel de sous-programmes


Intutivement, on peut voir un sous-programme comme une boîte noire qui définit une série des tâches à réaliser sur des paramètres ``virtuels''. Chaque fois que l'on désire éffectuer les tâches en question, on doit donner des paramètres ``réels'' (effectifs) à la boîte lors de son appel ou invocation. Les tâches sont alors executées sur ces paramètres effectifs.



 
$ parametre_1 \ $ -->
 
$ parametre_2 \ $ -->
 
...

Sous-programme
 
 
tâches sur les
paramètres..
 
 

 
$ \verb*~==>~ \; $ Résultat ou Effet
 



Il y a deux sortes de sous-programmes: les procédures et les fonctions:

La syntaxe d'un appel est:
Nom_sous_programme ( parametre1, parametre2, $\ldots$)

Exemple:
racine(3,8) appel de fonction pour calculer $\sqrt[3]{8}$,

put(``Bonjour'') appel de procédure pour afficher Bonjour.


Ces invocations sont réalisées au milieu de programmes qui éffectuent d'autres tâches.

x:= racine(3,8) + carre(2) - 3;
put(``Bonjour''); put(``Voici la valeur de x: ``); put(x);


L'utilisation d'un sous-programme suppose:


Pendant l'exécution, le fait de passer d'un point à un autre du programme, est aussi appelé, passer le contrôle (d'un point à un autre) dans le programme.

Exemple:

  x := 2 + 3;
  x := 3 + carre(x) + 2;
          ^        ^
          |        |
  point d'appel    point de retour avec 25


L'exécution se passe ainsi:


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Maria-Viginia Aponte
2001-11-21